

HISTOIRE
En 2013, le mouvement lancé à l'origine comme un simple défi vestimentaire par la fondatrice spécialisée en analyse des tendances Blythe Hill s'était transformé en une campagne humanitaire phénoménale.
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Apparu aux Etats-Unis, il se répand peu à peu et chaque année, des milliers de militants du monde entier relèvent ce défi et portent robe et cravate pendant les 31 jours de décembre.

PRINCIPE
Dressember, c'est croire que l'on peut tout faire, y compris collecter des milliers de dollars de fond pour soutenir le combat contre l'esclavage moderne.
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C'est un défi accessible à tous et surtout à chacun : médecin, assistante sociale, maraîcher, avocat et même élève. C'est à notre échelle, au travail comme à l'école qu'on peut pas à pas, robe par robe, nœud par nœud, changer le monde ensemble.
C'est tout simplement porter le message sur soi, déclencher les conversations et récolter les dons.

Le trafic humain existe dans toutes les villes du monde. Il hante les stations de métro, les aires d'autoroutes, les étiquettes de nos vêtements. On le retrouve autour des évènements sportifs, et probablement aussi dans votre quartier.
Esclavage, prostitution, exploitation, sont bel et bien une réalité, même en 2018, en France comme partout ailleurs.
LE TRAFIC HUMAIN
Aujourd'hui, 30 millions de personnes sont en situation d'esclavage ; 2 millions d'enfants sont exploités sexuellement dans le monde. Ce ne sont que des estimations.

IMPACT
La campagne 2017 a rapporté 2.131.287 $, grâce à plus de 8.000 participants et 30.000 donateurs d'une cinquantaine de pays sur six continents.
Plus de 80% des revenus sont reversés à des associations actives sélectionnées par Dressember selon cinq critères : collaboration, durabilité, innovation, importance de l'impact et sensibilité culturelle. Ce sont actuellement IJM, A21, McMahon/Ryan Child Avocacy Center, BEST, LOVE146, Pathfinders, Saving innocence, Cast, Restore, Youth Spark, OliveCrest et Thorn.
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